L’année dernière, j’avais manqué de temps pour préparer des bricolages de Noël élaborés et, par chance, je suis tombée sur une superbe idée de Tablettes et Pirouettes sur son fil Instagram (je vous conseille de la suivre, elle est une véritable source d’inspiration !) : une boule de Noël réalisée au stylo 3D.
Ce bricolage peut aussi être très intéressant à la maison, avec ses enfants.
Si vous souhaitez vous lancer dans un tel projet, il vous faudra :
Un stylo 3D
Je possède actuellement deux stylos de la marque SUNLU qui ont beaucoup augmenté de prix mais se montrent fiables. Vous en trouverez un autre ici (non testé) ou encore dans certaines boutiques dont Action.
Du filament
Ma préférence va au PLA, qui n’est pas issu du pétrole mais de l’amidon de maïs. Comptez un fil de 3m par élève en moyenne. Certains auront besoin d’un peu de supplément, d’autres en utiliseront moins.
Un support
En support, je préfère la boule en plastique qu’on peut séparer en deux. Fouillez les placards de l’école : il s’en trouve surement une qui traine quelque part. Sinon, les ballons de baudruche font l’affaire.
Si vous souhaitez mettre des paillettes ensuite, ce qui ajoute beaucoup à l’esthétique finale selon moi, du vernis-colle et des paillettes devront être ajoutés à votre liste de matériel. Je n’ai pas testé mais apparemment, le gel pailleté Cléopâtre collerait aussi sur du plastique et me semble plus pratique à utiliser !
Pour attacher la boule, utilisez le nœud ou un crochet pour boules de Noël. Vous pouvez aussi dessiner ces crochets au stylo 3D sur une feuille de plastique.
Le tutoriel
Pour que les élèves puissent travailler en autonomie ou pour que vous puissiez maitriser cette technique, je vous propose un document à lire ou à imprimer.
Et si vous avez des astuces, n’hésitez pas à les partager en commentaire de l’article.
Organisation
Du point de vue pratique, comptez 30 minutes par boule et par élève s’ils sont suffisamment autonomes. Avec deux stylos 3D, il est tout à fait possible d’étaler cette fabrication sur une semaine (en acceptant que les élèves aient des temps où ils ne suivent pas le « cours habituel » de ce qui se déroule en classe).